Les belles histoires de tata Mariette
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Les belles histoires de tata Mariette
Il était une fois, il n'y a pas si longtemps, une énutrofette d'un age honorable, elle s'appelait Maylis Télorisrish . Elle avait vécu une belle vie remplie de joie et de peine, d'aventures et de surprises.
Elle se maria à sept reprises et gardait encore pour ces six maris une tendresse réelle et empreinte de nostalgie.
Son premier amour fut un Iop, une erreur de jeunesse,Il était beau, valeureux et complètement idiot. Il décéda suite à une excursion dans la forêt des Abraknydes, une sombre histoire de champignon.
Ces deux maris suivant étaient jumeaux. Elle divorça du premier après l'avoir trompé avec son frère qu'elle épousa, cela ne dura pas car elle fricota très vite avec son ex-mari. Ne pouvant choisir entre les deux, elle les abandonna par une nuit glacée.
Son quatrième époux fut peut-être celui pour qui elle éprouva le plus de passion, Il s'appelait Rishar Beurtonpin, un enutrof au charisme impitoyable. Mais comme toutes relations passionnées, cela devint compliqué, les disputes s'enchainaient, les beuveries et leurs résultats catastrophiques étaient légions. Ils ne s'entendaient plus qu'au lit. Malheureusement, Rishar appréciait aussi la compagnie d'une jeune eniripsa, il partit, lui laissant la maison.
Elle resta seule un certain temps, mais au bout de quelques années, elle se laissa convaincre par son comptable, un xelor d'âge mur, de convolé en juste noce. Il la courtisait depuis un petit moment et les marques d'affection continuelles et les cadeaux onéreux qu'il lui offrit finirent pas la convaincre, elle vécut à cette période une vie calme et planplan.
C'était sans compter un certain énutrof qui après avoir gouté à la poudre et aux ailettes s'était rendu compte que rien ne valait les poignets d'amour et les rides de sa douce énutrofette de femme. Et c'est ainsi que notre héroïne épousa en sixième noce son quatrième mari (vous suivez ?). Ils s'étaient assagis tous les deux, quelques débordements furent à regretter, mais leur amour réussit, cette fois, à survivre aux crises. Les derniers mots de Rishar sur son lit de mort fut encore pour son aimée. Il dît, je cite « c'est une vieille peau de vache... mais elle me fascine encore ».
Incossollable, Maylis se fit engager comme femme à barbe à la foire au trool, elle y rencontra saapic méssebon, un sacrieur de soixante-dix ans son cadet, il était fakir. Il la vénérait, elle savait que cela ne durerait pas. Il était trop fougueux et son goût pour le sang, les clous, l'empalement ne présageait rien de bon. Elle en eu la confirmation le jour ou elle le découvrit en facheuse posture avec un sram,je ne donnerais, ici aucun détails quant à l'utilisation des os dudit sram.
Dépitée, elle retourna, chez elle a Sufokia pour y passer le reste de ses jours, Mais c'était sans compté le destin qui sait si bien jouer des tours. Un matin elle entendit à travers sa porte de petits vagissements, elle alla ouvrir celle-ci et découvrit à ses pieds un panier en osier. de faibles miaulements en sortaient. Pensant que cela devaient être des petits chachatons, elle était toute prête à les mettre à la baille, mais la curiosité aidant, elle souleva quand même la couverture. Ce qu'elle y découvrit changea sa vie pour toujours. Les petits cris de détresse venait d'une petite boule de poil gris, des yeux inexpérimentés aurait surement confondu cette chose avec un chacha, mais la vieille femme reconnut de suite un bébé ecaflip, une petite femelle qu'elle nomma bidulle.
Elle éleva la petite comme sa fille, elle qui malgré ses nombreux mariages n'avait pas eu la chance de connaître la maternité. L'enfant grandit entouré d'amour et de joie, Maylis Télorisrish devint Méméchante, surnom qu'elle devait à sa petite qui lui demandait toujours « mémé chante, mémé chante ! »*.
A l'âge adulte Bidulle hérita de la maison de Sufokia, Méméchante alla s'installé sur l'île d'Otomaï.
Elles ont vécu et vivent encore beaucoup d'aventures, ont rejoint ensemble une guilde prestigieuse.On les connait aussi pour leurres disputes légendaires et leurs coups de gueules rares, leur goût prononcé pour l'accumulation de ressources diverses et leurres remarques acerbes et tordues.
Bidulle a épousé un Iop, hérédité vous diront certains, espérons que celui-ci n'aie aucun gout pour les champignons.
Enfin tout ce petit monde vit heureux et s'aimera à jamais.
* note de l'auteur : d'après certaines sources filiale, le surnom de la vieille énutrofette ne viens pas de ses dire. Mais du fait de ses nombreux coups de triques donné en punition à la petit écaflipette, qui il faut le dire les méritait. En effet en représailles des sévices subis, l'enfant aurait surnomé sa mère, mémé méchante. Celui-ci devint, au fil des ans et de l'affection que se porte quand même les deux femme, Méméchante.
IRL : J'ai pas de vie IRL
Elle se maria à sept reprises et gardait encore pour ces six maris une tendresse réelle et empreinte de nostalgie.
Son premier amour fut un Iop, une erreur de jeunesse,Il était beau, valeureux et complètement idiot. Il décéda suite à une excursion dans la forêt des Abraknydes, une sombre histoire de champignon.
Ces deux maris suivant étaient jumeaux. Elle divorça du premier après l'avoir trompé avec son frère qu'elle épousa, cela ne dura pas car elle fricota très vite avec son ex-mari. Ne pouvant choisir entre les deux, elle les abandonna par une nuit glacée.
Son quatrième époux fut peut-être celui pour qui elle éprouva le plus de passion, Il s'appelait Rishar Beurtonpin, un enutrof au charisme impitoyable. Mais comme toutes relations passionnées, cela devint compliqué, les disputes s'enchainaient, les beuveries et leurs résultats catastrophiques étaient légions. Ils ne s'entendaient plus qu'au lit. Malheureusement, Rishar appréciait aussi la compagnie d'une jeune eniripsa, il partit, lui laissant la maison.
Elle resta seule un certain temps, mais au bout de quelques années, elle se laissa convaincre par son comptable, un xelor d'âge mur, de convolé en juste noce. Il la courtisait depuis un petit moment et les marques d'affection continuelles et les cadeaux onéreux qu'il lui offrit finirent pas la convaincre, elle vécut à cette période une vie calme et planplan.
C'était sans compter un certain énutrof qui après avoir gouté à la poudre et aux ailettes s'était rendu compte que rien ne valait les poignets d'amour et les rides de sa douce énutrofette de femme. Et c'est ainsi que notre héroïne épousa en sixième noce son quatrième mari (vous suivez ?). Ils s'étaient assagis tous les deux, quelques débordements furent à regretter, mais leur amour réussit, cette fois, à survivre aux crises. Les derniers mots de Rishar sur son lit de mort fut encore pour son aimée. Il dît, je cite « c'est une vieille peau de vache... mais elle me fascine encore ».
Incossollable, Maylis se fit engager comme femme à barbe à la foire au trool, elle y rencontra saapic méssebon, un sacrieur de soixante-dix ans son cadet, il était fakir. Il la vénérait, elle savait que cela ne durerait pas. Il était trop fougueux et son goût pour le sang, les clous, l'empalement ne présageait rien de bon. Elle en eu la confirmation le jour ou elle le découvrit en facheuse posture avec un sram,je ne donnerais, ici aucun détails quant à l'utilisation des os dudit sram.
Dépitée, elle retourna, chez elle a Sufokia pour y passer le reste de ses jours, Mais c'était sans compté le destin qui sait si bien jouer des tours. Un matin elle entendit à travers sa porte de petits vagissements, elle alla ouvrir celle-ci et découvrit à ses pieds un panier en osier. de faibles miaulements en sortaient. Pensant que cela devaient être des petits chachatons, elle était toute prête à les mettre à la baille, mais la curiosité aidant, elle souleva quand même la couverture. Ce qu'elle y découvrit changea sa vie pour toujours. Les petits cris de détresse venait d'une petite boule de poil gris, des yeux inexpérimentés aurait surement confondu cette chose avec un chacha, mais la vieille femme reconnut de suite un bébé ecaflip, une petite femelle qu'elle nomma bidulle.
Elle éleva la petite comme sa fille, elle qui malgré ses nombreux mariages n'avait pas eu la chance de connaître la maternité. L'enfant grandit entouré d'amour et de joie, Maylis Télorisrish devint Méméchante, surnom qu'elle devait à sa petite qui lui demandait toujours « mémé chante, mémé chante ! »*.
A l'âge adulte Bidulle hérita de la maison de Sufokia, Méméchante alla s'installé sur l'île d'Otomaï.
Elles ont vécu et vivent encore beaucoup d'aventures, ont rejoint ensemble une guilde prestigieuse.On les connait aussi pour leurres disputes légendaires et leurs coups de gueules rares, leur goût prononcé pour l'accumulation de ressources diverses et leurres remarques acerbes et tordues.
Bidulle a épousé un Iop, hérédité vous diront certains, espérons que celui-ci n'aie aucun gout pour les champignons.
Enfin tout ce petit monde vit heureux et s'aimera à jamais.
* note de l'auteur : d'après certaines sources filiale, le surnom de la vieille énutrofette ne viens pas de ses dire. Mais du fait de ses nombreux coups de triques donné en punition à la petit écaflipette, qui il faut le dire les méritait. En effet en représailles des sévices subis, l'enfant aurait surnomé sa mère, mémé méchante. Celui-ci devint, au fil des ans et de l'affection que se porte quand même les deux femme, Méméchante.
IRL : J'ai pas de vie IRL
Dernière édition par Bidulle le Ven 15 Avr - 22:33, édité 3 fois
Bidulle- Messages : 37
Date d'inscription : 01/03/2011
Age : 50
Localisation : vous voyez le centre de l'univers ? cherchez le point le plus éloigné ! ben vous êtes pas encore arrivés !
Re: Les belles histoires de tata Mariette
Cool et le URL à la fin m'a fait bien rire, j'aime les classiques. ;-)
Flaghargo- Messages : 11
Date d'inscription : 01/03/2011
Age : 31
Re: Les belles histoires de tata Mariette
URL ? J'ai pas mis URL
Bidulle- Messages : 37
Date d'inscription : 01/03/2011
Age : 50
Localisation : vous voyez le centre de l'univers ? cherchez le point le plus éloigné ! ben vous êtes pas encore arrivés !
Re: Les belles histoires de tata Mariette
O-O j'ai RIEN comprit !
Quand il n'y a plus de solution, reste la vengeance
Quand il n'y a plus de solution, reste la vengeance
Ribifibananaslescocotiers- Messages : 32
Date d'inscription : 01/03/2011
Age : 29
Localisation : In The Air (wahou)
Re: Les belles histoires de tata Mariette
ma tite ribi je ne dirait qu'un seul mot : Edition
mouhahahaha
mouhahahaha
Bidulle- Messages : 37
Date d'inscription : 01/03/2011
Age : 50
Localisation : vous voyez le centre de l'univers ? cherchez le point le plus éloigné ! ben vous êtes pas encore arrivés !
Re: Les belles histoires de tata Mariette
Impressionnant, on voit que tu n'as vraiment que ça à faire
Pretty-wose- Messages : 14
Date d'inscription : 03/03/2011
Age : 29
Localisation : Normandie
Re: Les belles histoires de tata Mariette
Damned !!!! je suis démasquée
Bidulle- Messages : 37
Date d'inscription : 01/03/2011
Age : 50
Localisation : vous voyez le centre de l'univers ? cherchez le point le plus éloigné ! ben vous êtes pas encore arrivés !
Re: Les belles histoires de tata Mariette
Et oui, Pretty-woman est dans la place ! mdr ok je retire ce que je viens de dire...
Pretty-wose- Messages : 14
Date d'inscription : 03/03/2011
Age : 29
Localisation : Normandie
Petite mise au point
Mémé n'a pas dit toute la vérité sur son histoire, j'ai lancé une investigation perso, elle a omis de préciser qu'elle était en fait une mante religieuse! Oui oui vous ne rêvez pas!
Mémé est en fait une croqueuse d'homme qui vide ses conquêtes de leur fluide vital (et s'il te plait mémé ne voit dans ces mots aucune analogie douteuse) jusqu'à l'épuisement afin de mieux les dépouiller lorsqu'ils sont au bord de l'agonie, sans défense et à la mercie de la Bête...
En suivant son histoire j'ai parcouru les différents coin de Dofus ainsi que ses différents lieux de villégiature et à chaque fois en cherchant bien j'ai retrouvé des fragments osseux. Après analyse ADN mes soupçons se sont accrus, vous connaissez tous son comportement de fourmie et son goût de la collection de ressources, je viens vous révéler un scoop, cette collecte est en fait un moyen de cacher ses trophées dans la gente masculine! En tentant de forcer un coffre dans sa maison de la canopée, j'ai pus mettre à jour un double fond où le reste des ossements étaient entreposés.
Cette macabre découverte me laisse à penser que la mémé qui chante est en fait réellement la méméchante et que bidulle a du en subir les sévices pendant son enfance...
L'enquête n'étant pas terminée bien que la culpabilité des meurtres prouvée, l'enjeu suivant de mes investigations est de déterminer si mémé n'aurai pas transmis son vice digne des pires brakmariens à la petite bidule, question importante à traiter si l'on veut voir survivre son mari actuel, le brave Carli!! Il serait effectivement dommage de retrouver un jour de lui qu'un petit tas d'os....
Je ne laisserai pas la terrible mémé poursuivre son oeuvre dans le secret, la laideur boultesque va continuer d'enquêter afin de faire ressortir celle bien pire des tréfonds du caractère de mémé afin de la montrer sous son vrai jour!!
Vous vous demandez peut être pourquoi je me suis intéressé de si près à l'histoire de mémé, c'est tout simplement car celle-ci m'a proposé d'être son mari et étant totalement hideux (par choix je vous le rappelle), cette envie m'a parue louche, d'où la raison de mon enquête....
Boult mène toujours l'enquête, la lumière protectrice brillera forcément à la fin de cette sombre histoire.... boultiquement votre...
Mémé est en fait une croqueuse d'homme qui vide ses conquêtes de leur fluide vital (et s'il te plait mémé ne voit dans ces mots aucune analogie douteuse) jusqu'à l'épuisement afin de mieux les dépouiller lorsqu'ils sont au bord de l'agonie, sans défense et à la mercie de la Bête...
En suivant son histoire j'ai parcouru les différents coin de Dofus ainsi que ses différents lieux de villégiature et à chaque fois en cherchant bien j'ai retrouvé des fragments osseux. Après analyse ADN mes soupçons se sont accrus, vous connaissez tous son comportement de fourmie et son goût de la collection de ressources, je viens vous révéler un scoop, cette collecte est en fait un moyen de cacher ses trophées dans la gente masculine! En tentant de forcer un coffre dans sa maison de la canopée, j'ai pus mettre à jour un double fond où le reste des ossements étaient entreposés.
Cette macabre découverte me laisse à penser que la mémé qui chante est en fait réellement la méméchante et que bidulle a du en subir les sévices pendant son enfance...
L'enquête n'étant pas terminée bien que la culpabilité des meurtres prouvée, l'enjeu suivant de mes investigations est de déterminer si mémé n'aurai pas transmis son vice digne des pires brakmariens à la petite bidule, question importante à traiter si l'on veut voir survivre son mari actuel, le brave Carli!! Il serait effectivement dommage de retrouver un jour de lui qu'un petit tas d'os....
Je ne laisserai pas la terrible mémé poursuivre son oeuvre dans le secret, la laideur boultesque va continuer d'enquêter afin de faire ressortir celle bien pire des tréfonds du caractère de mémé afin de la montrer sous son vrai jour!!
Vous vous demandez peut être pourquoi je me suis intéressé de si près à l'histoire de mémé, c'est tout simplement car celle-ci m'a proposé d'être son mari et étant totalement hideux (par choix je vous le rappelle), cette envie m'a parue louche, d'où la raison de mon enquête....
Boult mène toujours l'enquête, la lumière protectrice brillera forcément à la fin de cette sombre histoire.... boultiquement votre...
boult- Messages : 20
Date d'inscription : 01/03/2011
Age : 39
Localisation : confidentiel
Re: Les belles histoires de tata Mariette
Je viens ici réfuter les allégations mensongères portées à mon encontre. Celles-ci venant d'une personne peu scrupuleuse qui désire simplement ruinée une réputation irréprochable.
Je peux d'ailleurs, ici prouver ma bonne foi. Voici divers témoignages, dont ceux de mes ex-époux encore vivants.
Voici le premier, je vous laisse le lire :
« Méméchante est une femmme formidable, elle m'a apportée beaucoup le temps de notre mariage, Quand je l'ai quitté, elle ne m'a jamais rien reproché. Mon ami et moi l'aimons beaucoup, elle viens régulièrement à notre spectacle à la foire au Trool.Elle nous a d'ailleurs dernierement offert un très joli firefoux. Je ne comprend pas que des gens puissent l'attaquer ainsi. Elle qui est si charmante »
En voici un autre :
« Pourquoi devrais-je défendre cette gourgandine, cette femme m'a brisé le cœur en couchant avec mon frère sous notre propre toit... »
Heu non pas celle là en fait, désolé.
Attendez j'en trouve une autre. Ha ! Voilà :
« Mémé reviens-moi Je m'en fou ! Depuis 60 ans j'attends ton retour. Je me suis fâché avec mon frère pour toi. Tu es le soleil de ma vie. Je t'offrirai des perles de pluie venues d'un pays ou il ne pleut pas. Mémé reviens moi, mémé reviens moi... »
Bon je vous épargne la suite, je sais pas en fait ce qui m'a pris de l'épousé celui là.
Tenez ! Un autre témoignage, il n'est pas d'un de mes mari:
« Je soussigné moi , Pretty-Owange, que l'époux de Madame Maylis Telorisrish, dénommé Rishar Beurtonpin, est bien décédé à l'âge honorable de 173 ans de sa bel mort. Nous avons veillé ensemble le vieil homme dans ces derniers jours. Méméchante ayant bien accepté que je sois là. Mr Beurtonpin avait demandé à me voir, ce qui est normal, étant donné notre passé commun. Je profite de ce témoignage pour demander encore une fois la part d'héritage qui me revient à moi et ma famille. En effet Rishar m'a abandonné alors que je portais son enfant, il n'a jamais voulu le reconnaître, mais ma petite Pretty-wouge (qui est maintenant mère elle-même) a ses yeux! »
Je tiens à réfuté les dernières allégations de cette aventurière, un test de paternité à été fait et l'enfant n'était pas de lui.
Enfin un dernier document :
« Madame Méméchante, vu que maintenant elle veuT qu'on la nomme ainsi, ne m'a pas tué. Je m'occupe toujours de ces comptes et il n'ont jamais été aussi prospères. Nous sommes resté ami, enfin c'est ce qu'elle dit, moi je reste là parce que je sais qu'un jour elle me reviendra. Mon amour est un feu couvant, un simple mot d'elle et je serais là. Maylis sera toujours dans mon cœur et je suis toujours là, prêt à lui offrir mes services et tout ce qu'elle désirera »
Lui. Il a intérêt à faire gaffe, je vois une erreur d'écriture, un virgule pas à sa place et je le massac... Heu pardon je m'égare.
Enfin, bref, j'espère que tous ces témoignage pourront mettre un terme à cette cabale orchestré par une personne totalement amorale qui sous couvert d'un prétendu sens de la justice s'évertue à dénigré une femme qui a toujours œuvré pour le bien être de la communauté.
Je peux d'ailleurs, ici prouver ma bonne foi. Voici divers témoignages, dont ceux de mes ex-époux encore vivants.
Voici le premier, je vous laisse le lire :
« Méméchante est une femmme formidable, elle m'a apportée beaucoup le temps de notre mariage, Quand je l'ai quitté, elle ne m'a jamais rien reproché. Mon ami et moi l'aimons beaucoup, elle viens régulièrement à notre spectacle à la foire au Trool.Elle nous a d'ailleurs dernierement offert un très joli firefoux. Je ne comprend pas que des gens puissent l'attaquer ainsi. Elle qui est si charmante »
En voici un autre :
« Pourquoi devrais-je défendre cette gourgandine, cette femme m'a brisé le cœur en couchant avec mon frère sous notre propre toit... »
Heu non pas celle là en fait, désolé.
Attendez j'en trouve une autre. Ha ! Voilà :
« Mémé reviens-moi Je m'en fou ! Depuis 60 ans j'attends ton retour. Je me suis fâché avec mon frère pour toi. Tu es le soleil de ma vie. Je t'offrirai des perles de pluie venues d'un pays ou il ne pleut pas. Mémé reviens moi, mémé reviens moi... »
Bon je vous épargne la suite, je sais pas en fait ce qui m'a pris de l'épousé celui là.
Tenez ! Un autre témoignage, il n'est pas d'un de mes mari:
« Je soussigné moi , Pretty-Owange, que l'époux de Madame Maylis Telorisrish, dénommé Rishar Beurtonpin, est bien décédé à l'âge honorable de 173 ans de sa bel mort. Nous avons veillé ensemble le vieil homme dans ces derniers jours. Méméchante ayant bien accepté que je sois là. Mr Beurtonpin avait demandé à me voir, ce qui est normal, étant donné notre passé commun. Je profite de ce témoignage pour demander encore une fois la part d'héritage qui me revient à moi et ma famille. En effet Rishar m'a abandonné alors que je portais son enfant, il n'a jamais voulu le reconnaître, mais ma petite Pretty-wouge (qui est maintenant mère elle-même) a ses yeux! »
Je tiens à réfuté les dernières allégations de cette aventurière, un test de paternité à été fait et l'enfant n'était pas de lui.
Enfin un dernier document :
« Madame Méméchante, vu que maintenant elle veuT qu'on la nomme ainsi, ne m'a pas tué. Je m'occupe toujours de ces comptes et il n'ont jamais été aussi prospères. Nous sommes resté ami, enfin c'est ce qu'elle dit, moi je reste là parce que je sais qu'un jour elle me reviendra. Mon amour est un feu couvant, un simple mot d'elle et je serais là. Maylis sera toujours dans mon cœur et je suis toujours là, prêt à lui offrir mes services et tout ce qu'elle désirera »
Lui. Il a intérêt à faire gaffe, je vois une erreur d'écriture, un virgule pas à sa place et je le massac... Heu pardon je m'égare.
Enfin, bref, j'espère que tous ces témoignage pourront mettre un terme à cette cabale orchestré par une personne totalement amorale qui sous couvert d'un prétendu sens de la justice s'évertue à dénigré une femme qui a toujours œuvré pour le bien être de la communauté.
Bidulle- Messages : 37
Date d'inscription : 01/03/2011
Age : 50
Localisation : vous voyez le centre de l'univers ? cherchez le point le plus éloigné ! ben vous êtes pas encore arrivés !
Re: Les belles histoires de tata Mariette
Dites moi mais c'est qu'en plus ça tente de nier l'indéniable, comment pouvez vous prouver la véracité de ces témoignages?
Les os testés portent l'ADN de tous vos maris, ne sont-ce-t-ils pas une preuve irréfutable? A moins que vous teniez seulement à garder de menus souvenir en leur coupant un poignet?
De plus il semblerai qu'une partie des revenus de ces feux maris aient transité dans des comptes offshore un peu partout dans le monde
Cette sombre histoire n'est pas encore finie, foi de boultsherlock!
Les os testés portent l'ADN de tous vos maris, ne sont-ce-t-ils pas une preuve irréfutable? A moins que vous teniez seulement à garder de menus souvenir en leur coupant un poignet?
De plus il semblerai qu'une partie des revenus de ces feux maris aient transité dans des comptes offshore un peu partout dans le monde
Cette sombre histoire n'est pas encore finie, foi de boultsherlock!
boult- Messages : 20
Date d'inscription : 01/03/2011
Age : 39
Localisation : confidentiel
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